♣ PRÉNOMS & NOM : Elizabeth Nikita Denison ♣ AGE : 18 ans ♣ DATE & LIEU DE NAISSANCE : 20 mai, New York ♣ NATIONALITÉ : Américaine ♣ STATUT : célibataire ♣ ORIENTATION SEXUELLE : Inconnu, elle n'est jamais tombée amoureuse alors.. ♣ GROUPE : danse classique ♣ FEAT : sasha pivovarova <3

Elizabeth Nikita. Voilà comment ils avaient décidés de l'appeler. Ils ? Les Denison, bien entendue. Vous savez, cette très riche et influente famille . Bien évidemment que vous connaissez. Le second prénom, Nikita, fut choisit par Carlton en souvenir de la femme qu'il aimait et aime toujours au passage. Pourquoi n'est-il pas resté avec elle ? D'une part, cela ne semblait pas convenir à sa mère qui fit alors tout pour annulé les fiançailles et ainsi, il dû se marier à Marianne-Teresa. Cette dernière était la fille d'un riche entrepreneur français et cela convenait mieux à madame Denison que l'autre femme. Mais que Carlton pouvait-il dire ? Rien, juste rien.. Oh. Il y a un point faux dans toute cette histoire. Certes Carlton n'était pas amoureux de Marianne-Teresa mais à l'inverse, cette dernière si. Elle l'aimait. Lorsque la jeune femme apprit que Elizabeth avait le second prénom de la femme aimé de Carlton, Marianne... est devenue hystérique si l'on puis dire cela ainsi. Oui vraiment. Elle crisait pour rien, en privé évidemment, devant des gens, elle restait cette jolie et gracieuse Marianne que tous croyaient connaître. Carlton et Elizabeth en payaient d'ailleurs le prix. Elle s'énervait sur eux. Lizzie était triste contrairement à Carlton que cela ne touchait presque pas. Presque, car il avait néanmoins mal pour Elizabeth qui, au final, n'avait absolument rien fait pour mériter ce que lui faisait subir sa mère. La petite blonde s'en fichait un peu... Ou pas. Elle feignait juste l'indifférence mais, au fond, elle avait mal. Liz' était une gamine, une petite fille sensible que tout pouvait briser. Heureusement, son père était là, il l'a soutenait et la défendait comme il pouvait. Puis, sa mère commença à s'investir plus dans l'entreprise du coup, elle en oubliait presque Elizabeth. Heureuse ? Pas vraiment, elle souffrait même. Puisque même si sa mère lui faisait du mal, vous savez, Lizzie est un coeur tendre, sensible et elle l'aimait vraiment sa mère, celle qui l'a mise au monde. Mise à part cela, Elizabeth ne faisait aucuns caprices de petite fille gâtée et faisait tout pour essayer de rendre ses parents fièrs d'elle mais, ce n'était qu'une enfant.. Alors à l'adolescence, cela pouvait bien changer surtout à New York, où tout peux aller très, très vite.

Un drame bouleversa la vie de Elizabeth. Elle devait avoir sept, huit ans; Son père l'emmenait au medecin régulièrement étant donné qu'elle se plaignait de beaucoup de migraine. Le lendemain, Lizzie ouvrit les yeux mais.. rien. Du noir. Elle crut qu'elle n'avait pas allumé la lumière pourtant sous sa paume de main, elle appuyait sur l'interrupteur. Elle hurla, juste un cri. Désépérée. Son père arriva en courant. Des larmes cristallines coulaient sur son visage de poupée. « Chérie qu'est-ce qu'il y a ? » « Papa.. Je vois plus. » « .. Quoi ? » « Je.. C'est tout noir papa, je comprend pas. J'ai peur papa.. ». Verdict après l'avoir aussitôt emmener à l'hôpital, la raison de son aveuglement fut les migraines. Son père pleura, sans bruit. Étrangement, Elizabeth le sentit, gentiment, elle posa la main sur ces joues, essuyant les larmes « C'est pas grave papa, je suis là moi » Elle souriait d'un sourire d'ange. Lizzie était un ange en réalité. Malgré cet handicap, elle voulait vivre normalement. Pas besoin de lunette, et encore moins de cane. Elle était jeune et vive comme elle disait en riant doucement. Tout le monde sut le malheur de Elizabeth. En effet, cette dernière était vraiment magnifique, une poupée de porcelaine et posait souvent pour des magasines, elle était connue, puis aussi avec ses parents.. Du coup, elle fit la une. Beaucoup eurent peurs à la moindre migraine chez leurs enfants mais finalement, cela passa. La chose qui libéra Elizabeth encore plus fut la danse. La danse classique, elle en faisait depuis.. assez longtemps. Et continua même adolescente, nourrissant le rêve d'aller un jour dans une école de danse. Ce qui la protégea de la drogue et compagnie fut sûrement son handicap. Dans le lycée où elle allait, elle était populaire. Pour sa gentillesse, sa beauté. Lorsqu'elle eut dix-huit ans, elle fut alors admise dans un établissement pour pratiquer la danse. Son rêve en somme. Heureuse ? Non pas vraiment. Car en réalité, aucun mot ne pouvait décrire sa joie lorsque son père lui lisa la lettre qu'elle avait reçue.